Différences
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univers:ryzom:laofa:023 [20/02/2013 00:11] – modification externe 127.0.0.1 | univers:ryzom:laofa:023 [30/11/2020 18:38] (Version actuelle) – Zatalyz | ||
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=== Où Laofa comprend comment on passe du mauvais côté de la barrière. === | === Où Laofa comprend comment on passe du mauvais côté de la barrière. === | ||
- | Laofa rentrait péniblement à Fairhaven lorsque la nouvelle lui parvint. Deux trykers | + | Laofa rentrait péniblement à Fairhaven lorsque la nouvelle lui parvint. Deux Trykers |
-Tu as entendu la dernière ? Zora se fait encore attaquer par les maraudeurs. | -Tu as entendu la dernière ? Zora se fait encore attaquer par les maraudeurs. | ||
\\ -Oy, c’est vieux ça. | \\ -Oy, c’est vieux ça. | ||
- | \\ -An, j’ai entendu quelqu’un en parler tout à l’heure chez Ba’naer. Il avait des écorces à livrer là-bas, il s’est rapatrié directement par téléporteur en voyant les combats. Eny c’est possible que la ville soit libre à présent. Ou entre leurs mains. | + | \\ -An, j’ai entendu quelqu’un en parler tout à l’heure chez Ba’Naer. Il avait des écorces à livrer là-bas, il s’est rapatrié directement par téléporteur en voyant les combats. Eny c’est possible que la ville soit libre à présent. Ou entre leurs mains. |
- | Laofa hésita. Elle avait une forte envie de faire comme si de rien n’était, d’aller s’écrouler au bar et de reprendre son souffle après une journée passée à courir après une vieille relique de dague. Du reste, elle ne se battait pas contre les Maraudeurs, ni contre aucun homins. Soigner, yui, tuer, né. Enfin... de toute façon, elle n’était pas une combattante assez aguerrie pour espérer les blesser. | + | Laofa hésita. Elle avait une forte envie de faire comme si de rien n’était, d’aller s’écrouler au bar et de reprendre son souffle après une journée passée à courir après une vieille relique de dague. Du reste, elle ne se battait pas contre les Maraudeurs, ni contre aucun homin. Soigner, yui, tuer, né. Enfin... de toute façon, elle n’était pas une combattante assez aguerrie pour espérer les blesser. |
«Pas d’implication dans les guerres entre homins. On se pose en observatrice, | «Pas d’implication dans les guerres entre homins. On se pose en observatrice, | ||
- | Elle repensa à son projet de reportage chez les Maraudeurs, qu’elle repoussait sans cesse. Yui, ce serait intéressant d’en savoir plus sur leur société, au delà des préjugés et des fantasmes que les homins des nations en avaient... Mais justement, les préjugés en question lui soufflaient qu’elle était bien plus tranquille ici qu’à aller poser des questions à des types capables de tuer juste pour le plaisir. Elle jeta un regard autour d’elle, sans reconnaître un des membres de sa «garde». Peut-être avaient-ils | + | Elle repensa à son projet de reportage chez les Maraudeurs, qu’elle repoussait sans cesse. Yui, ce serait intéressant d’en savoir plus sur leur société, au delà des préjugés et des fantasmes que les homins des nations en avaient... Mais justement, les préjugés en question lui soufflaient qu’elle était bien plus tranquille ici qu’à aller poser des questions à des types capables de tuer juste pour le plaisir. Elle jeta un regard autour d’elle, sans reconnaître un des membres de sa «garde». Peut-être avaient-ils |
Elle soupira. Yui, il faudrait bien aller passer du temps avec eux, un de ces jours. Elle ne réunirait pas la matière pour un bon reportage en restant dans la sécurité des villes. Mais pas ce soir. Après le projet sur les kitins, par exemple. Et il y avait toujours le Guide, qui attendait une impulsion de sa part. Et puis les projets de Nati’Gia. Et puis... Yui, yui, bien trop de choses à faire avant d’aller se perdre loin de la civilisation. | Elle soupira. Yui, il faudrait bien aller passer du temps avec eux, un de ces jours. Elle ne réunirait pas la matière pour un bon reportage en restant dans la sécurité des villes. Mais pas ce soir. Après le projet sur les kitins, par exemple. Et il y avait toujours le Guide, qui attendait une impulsion de sa part. Et puis les projets de Nati’Gia. Et puis... Yui, yui, bien trop de choses à faire avant d’aller se perdre loin de la civilisation. | ||
- | Elle prit le chemin du bar de Ba’Naer quand elle croisa une trykette | + | Elle prit le chemin du bar de Ba’Naer quand elle croisa une Trykette |
-Gubî ! Il faut sauver Gubî ! | -Gubî ! Il faut sauver Gubî ! | ||
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-Pour les Yubos !!!! | -Pour les Yubos !!!! | ||
- | Elle laissa la colère trop longtemps | + | Elle laissa la colère trop longtemps |
Le Maraudeur lui jeta à peine un coup d’œil, esquiva ses attaques sans même donner l’impression de s’y intéresser, | Le Maraudeur lui jeta à peine un coup d’œil, esquiva ses attaques sans même donner l’impression de s’y intéresser, | ||
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«Tiens... quand on passe un peu plus de temps à travailler pour la Karavan que pour les Kamis, c’est eux qui gèrent notre revitalisation...» | «Tiens... quand on passe un peu plus de temps à travailler pour la Karavan que pour les Kamis, c’est eux qui gèrent notre revitalisation...» | ||
- | Elle hésita, puis se releva, encore faible, et reprit le chemin de Zora. Dissimulée par l’étable, | + | Elle hésita, puis se releva, encore faible, et reprit le chemin de Zora. Dissimulée par l’étable, |
Les gardes, plus bas, essayaient de rassembler leur courage pour repartir à l’assaut. On les sentaient démoralisés. Pas besoin d’être un grand tacticien pour comprendre que Zora était découragée du combat contre les Maraudeurs. La ville était effectivement à eux, s’ils le désiraient. | Les gardes, plus bas, essayaient de rassembler leur courage pour repartir à l’assaut. On les sentaient démoralisés. Pas besoin d’être un grand tacticien pour comprendre que Zora était découragée du combat contre les Maraudeurs. La ville était effectivement à eux, s’ils le désiraient. | ||
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\\ Laofa se garda bien de répondre. Mais la curiosité, ce soir, compensait largement la peur de se prendre un coup. Elle regardait les Maraudeurs tuer l’ennui en attendant que les Gardes retrouvent leur courage, jouer... comme des enfants. Elle ne put s’empêcher de sourire en voyant deux maraudeuses se faire des grimaces. | \\ Laofa se garda bien de répondre. Mais la curiosité, ce soir, compensait largement la peur de se prendre un coup. Elle regardait les Maraudeurs tuer l’ennui en attendant que les Gardes retrouvent leur courage, jouer... comme des enfants. Elle ne put s’empêcher de sourire en voyant deux maraudeuses se faire des grimaces. | ||
- | Elle était aussi surprise qu’ils ne l’attaquent pas. Elle avait rengainé ses armes et n’était pas agressive, certes, mais elle restait leur ennemi, en théorie. | + | Elle était aussi surprise qu’ils ne l’attaquent pas. Elle avait rengainé ses armes et n’était pas agressive, certes, mais elle restait leur ennemie, en théorie. |
L’un d’eux choisit ce moment pour attaquer un de ses coéquipiers. En un instant, plus de la moitié des maraudeurs échangeaient des coups, les autres regardant et commentant les performances. Les gardes profitèrent de cette distraction pour relancer un assaut. Restant prudemment à distance, pestant contre l’impossibilité qu’elle avait de soigner les gardes, Laofa ne pouvait que compter les morts. | L’un d’eux choisit ce moment pour attaquer un de ses coéquipiers. En un instant, plus de la moitié des maraudeurs échangeaient des coups, les autres regardant et commentant les performances. Les gardes profitèrent de cette distraction pour relancer un assaut. Restant prudemment à distance, pestant contre l’impossibilité qu’elle avait de soigner les gardes, Laofa ne pouvait que compter les morts. | ||
- | «Deux maraudeurs à terre, toute la garde rapatriée par les kamis... Et je ne suis même pas sûre que ce soit les gardes qui ont terrassés | + | «Deux maraudeurs à terre, toute la garde rapatriée par les kamis... Et je ne suis même pas sûre que ce soit les gardes qui ont terrassé |
-Et si on parlait pourparlers de paix ? lança-t-elle aux Maraudeurs. | -Et si on parlait pourparlers de paix ? lança-t-elle aux Maraudeurs. | ||
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Elle se demandait si le thé An Li’um rendrait les guerriers aussi euphoriques et détendus que lorsqu’il était consommé entre professeurs et élèves de l’Académie. Ce serait une manière inattendue d’apaiser les tensions. | Elle se demandait si le thé An Li’um rendrait les guerriers aussi euphoriques et détendus que lorsqu’il était consommé entre professeurs et élèves de l’Académie. Ce serait une manière inattendue d’apaiser les tensions. | ||
- | Les gardes choisirent ce moment pour revenir, encore une fois. Laofa ne pouvait qu’admirer leur ténacité. Ils n’avaient aucune chance, aussi peu nombreux. En quelques minutes, le champ de bataille était à nouveau vide. Elle se garda de participer, cette fois-ci, sachant que ça ne servirais | + | Les gardes choisirent ce moment pour revenir, encore une fois. Laofa ne pouvait qu’admirer leur ténacité. Ils n’avaient aucune chance, aussi peu nombreux. En quelques minutes, le champ de bataille était à nouveau vide. Elle se garda de participer, cette fois-ci, sachant que ça ne servirait |
-Pauvres gardes, soupira Laofa. Ils ont une famille, tout ça... | -Pauvres gardes, soupira Laofa. Ils ont une famille, tout ça... | ||
- | Un sort la frappa de plein fouet. Avant qu’elle n’ai compris de quoi il retournait et pourquoi Arninva l’avait soudain agressée, un second la frappa et la laissa au sol. | + | Un sort la frappa de plein fouet. Avant qu’elle n’aie compris de quoi il retournait et pourquoi Arninva l’avait soudain agressée, un second la frappa et la laissa au sol. |
-Faut pas parler de famille, rigola Ankil. C’est un sujet qui fâche. | -Faut pas parler de famille, rigola Ankil. C’est un sujet qui fâche. | ||
Ligne 89: | Ligne 89: | ||
L’un des Maraudeurs, relevé par un camarade, se releva et fonça sur Halfaz pour lui faire ravaler sa fierté. Le voyant accuser les coups, Laofa recommença à le soigner. | L’un des Maraudeurs, relevé par un camarade, se releva et fonça sur Halfaz pour lui faire ravaler sa fierté. Le voyant accuser les coups, Laofa recommença à le soigner. | ||
- | Et les gardes en profitèrent pour relancer un assaut. Soudain, Laofa se rendit compte qu’elle soignait des Maraudeurs... qui tuaient des gardes. Et cela... depuis un petit moment, vu les regards que lui lançait | + | Et les gardes en profitèrent pour relancer un assaut. Soudain, Laofa se rendit compte qu’elle soignait des Maraudeurs... qui tuaient des gardes. Et cela... depuis un petit moment, vu les regards que lui lançaient |
-Ouuuuuups... | -Ouuuuuups... | ||
- | Elle se sentait perdue. Elle avait appris à soigner sans distinction tout homin qui avait besoin d’aide, mais là... tout les homins avaient | + | Elle se sentait perdue. Elle avait appris à soigner sans distinction tout homin qui avait besoin d’aide, mais là... tout les homins avaient |
- | «Si tu es la soigneuse, soigne ! Si on t’attaque, | + | «Si tu es la soigneuse, soigne ! Si on t’attaque, |
- | Le fantôme de la voix de la trykette | + | Le fantôme de la voix de la Trykette |
- | Le zoraï | + | Le Zoraï |
-Tu trahis notre peuple ! | -Tu trahis notre peuple ! | ||
\\ -C’est des homins aussi ! répliqua Laofa, ne sachant plus à quoi se raccrocher. | \\ -C’est des homins aussi ! répliqua Laofa, ne sachant plus à quoi se raccrocher. | ||
- | \\ -Tu n’entreras plus aux cercles, | + | \\ -Tu n’entreras plus aux cercles, |
Elle se réveilla quelque minutes plus tard sous le regard amusé des suivants de la Karavan. Tremblante, elle regarda ses amplis. | Elle se réveilla quelque minutes plus tard sous le regard amusé des suivants de la Karavan. Tremblante, elle regarda ses amplis. | ||
Ligne 118: | Ligne 118: | ||
Elle se releva, titubante, suivant les Maraudeurs qui retournaient vers la ville. Elle-même ne savait plus bien où elle en était. Les Zoraïs l’attaquaient, | Elle se releva, titubante, suivant les Maraudeurs qui retournaient vers la ville. Elle-même ne savait plus bien où elle en était. Les Zoraïs l’attaquaient, | ||
- | Elle resta à distance prudente, regardant les combats reprendre, les Maraudeurs ayant cette fois un ennemi valable en face d’eux. Devait-elle aider les deux kamistes, alors qu’ils ne voulaient que sa mort, à l’heure actuelle ? Les Maraudeurs, qui l’avaient visiblement | + | Elle resta à distance prudente, regardant les combats reprendre, les Maraudeurs ayant cette fois un ennemi valable en face d’eux. Devait-elle aider les deux kamistes, alors qu’ils ne voulaient que sa mort, à l’heure actuelle ? Les Maraudeurs, qui l’avaient visiblement |
Clic...clic... | Clic...clic... | ||
- | Le sort ne venait pas. Paniqué, elle regarda ses amplificateurs. Né, le problème ne venait pas de là. La magie de soin ne voulait pas se diriger vers lui. Les yeux de Laofa s’agrandirent d’horreur : | + | Le sort ne venait pas. Paniquée, elle regarda ses amplificateurs. Né, le problème ne venait pas de là. La magie de soin ne voulait pas se diriger vers lui. Les yeux de Laofa s’agrandirent d’horreur : |
«C’est un kamiste, un vrai... et la magie elle vient des kamis... et je les ais trahis en soignant les Maraudeurs... Nélaï... Nu zo’nélaï-ko...» | «C’est un kamiste, un vrai... et la magie elle vient des kamis... et je les ais trahis en soignant les Maraudeurs... Nélaï... Nu zo’nélaï-ko...» | ||
- | Le kamiste ne jurait pas contre les maraudeurs durant son combat. Il invectivais | + | Le kamiste ne jurait pas contre les maraudeurs durant son combat. Il invectivait |
Elle vit alors que Vrana était arrivée aussi, regardant le combat à ses côtés. | Elle vit alors que Vrana était arrivée aussi, regardant le combat à ses côtés. | ||
Ligne 138: | Ligne 138: | ||
-Né ! Ne faites pas de mal à Vrana ! Pas Vrana ! | -Né ! Ne faites pas de mal à Vrana ! Pas Vrana ! | ||
- | Elle tenta de la soigner, mais de nouveau, la magie se dérobait. Laofa se sentait vraiment très très mal. Elle vit la Zoraï | + | Elle tenta de la soigner, mais de nouveau, la magie se dérobait. Laofa se sentait vraiment très très mal. Elle vit la Zoraïe |
-Né ! Marche, espèce de vieil ampli pourri ! | -Né ! Marche, espèce de vieil ampli pourri ! | ||
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-Je soigne Vrana ! Pas un maraudeur ! | -Je soigne Vrana ! Pas un maraudeur ! | ||
- | \\ -Tu n’existe | + | \\ -Tu n’existes |
Avec l’énergie du désespoir, Laofa réussit à envoyer un dernier sort avant que le coup suivant ne la mette à terre. | Avec l’énergie du désespoir, Laofa réussit à envoyer un dernier sort avant que le coup suivant ne la mette à terre. | ||
\\ Laofa gémit, rassemblant sa vie qui fuyait pour se défendre : | \\ Laofa gémit, rassemblant sa vie qui fuyait pour se défendre : | ||
- | \\ -C’est une gardienne de la Théocratie ! Elle n’a rien fait de mal, elle a même combattue | + | \\ -C’est une gardienne de la Théocratie ! Elle n’a rien fait de mal, elle a même combattu |
- | \\ -Laofa, tu n’est plus crédible pour un dapper. Assume, répliqua le zoraï. | + | \\ -Laofa, tu n’es plus crédible pour un dapper. Assume, répliqua le Zoraï. |
\\ -Arrête de rouspéter, toi, se moqua Arninva. Impossible de savoir si c' | \\ -Arrête de rouspéter, toi, se moqua Arninva. Impossible de savoir si c' | ||
- | Laofa sentait l’inconscience la gagner. Elle avait vu Vrana arriver à se relever un court instant grâce à ses soins, puis retomber aussi sec, sans même voir qui l’avait | + | Laofa sentait l’inconscience la gagner. Elle avait vu Vrana arriver à se relever un court instant grâce à ses soins, puis retomber aussi sec, sans même voir qui l’avait |
\\ Sentant peu à peu la vie s’enfuir, elle continua à mobiliser sa volonté : | \\ Sentant peu à peu la vie s’enfuir, elle continua à mobiliser sa volonté : | ||
\\ -Vrana... relevez-la... | \\ -Vrana... relevez-la... | ||
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Elle tenta de se relever, de s’éloigner de la machine volante karavan qui la surplombait et ne lui inspirait qu’une confiance limitée. Les Maraudeurs, eux, continuaient leurs allez-retours entre résurrections et combats. Halfaz assista à son réveil et lui lança encore un soin, puis il déclara : | Elle tenta de se relever, de s’éloigner de la machine volante karavan qui la surplombait et ne lui inspirait qu’une confiance limitée. Les Maraudeurs, eux, continuaient leurs allez-retours entre résurrections et combats. Halfaz assista à son réveil et lui lança encore un soin, puis il déclara : | ||
- | \\ -Tu peux compter sur nous. Pas comme sur tes amis Zoraï | + | \\ -Tu peux compter sur nous. Pas comme sur tes amis zoraïs |
Et il repartit vers la zone de combat. Laofa resta assise dans l’herbe, ne sachant que penser de tout ça. Car il y avait une sorte de vérité dans ce que le Maraudeur lui avait dit. Elle détestait se retrouver dans ces doutes... | Et il repartit vers la zone de combat. Laofa resta assise dans l’herbe, ne sachant que penser de tout ça. Car il y avait une sorte de vérité dans ce que le Maraudeur lui avait dit. Elle détestait se retrouver dans ces doutes... | ||
Ligne 169: | Ligne 169: | ||
Elle caressa le gupakni qui la regardait d’un air surpris. | Elle caressa le gupakni qui la regardait d’un air surpris. | ||
- | \\ -Pauvre Gubî... je me demande bien ce qu’on va devenir... Je crois que ce que j’ai fait ce soir rentre | + | \\ -Pauvre Gubî... je me demande bien ce qu’on va devenir... Je crois que ce que j’ai fait ce soir fait partie de mes plus belles boulettes... |
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