• Naissance inconnue
• 2568 : a droit à une résurrection douteuse sur Silan, en mode super affaibli
• 2588 : disparition des radars. Certains disent qu'il a mené la grande vie avec Gia'suki avant de mourir pitoyablement dans la goo. S'il est vraiment le père de Nikuya et Nokkuya, sa mort date d'après 2601.

Mort et en principe, pas ramenable.

Par vague ordre chronologique :

• Kaikyo, frère cadet et Eveillé
• Ezek, Cyvos et Sovyc : “cousins” par adoption dans l'enfance
• Aurait eu, ou non, des relations avec Liung, la terrifiante mère de Krokwai
• A couché avec beaucoup trop de zoraies et pas souvent en leur demandant leur avis
• Laofa, qui a été sa marotte au fil des ans
• Misuno, qui a été sa psy quelque temps (si si)
• Nevroyae : matisse et cheffe d'un des clans maraudeurs où Fakuang est passé
• J'ai oublié les noms chez les marauds, faudrait reprendre des années de log

Fakuang ne gagnait pas vraiment à être connu. C'était quelqu'un de violent, sadique, manipulateur et en un mot : infréquentable.

Son grand plaisir était la douleur : celle qu'il pouvait infliger aux autres, celle qu'on lui amenait. Les seules personnes qu'il pouvait (un peu) respecter étaient celles qui étaient encore plus violentes que lui, ce qui réduisait les possibilités. Comme beaucoup d'antekamis, il pouvait se soumettre aux femmes et à leurs décisions (tel que Pei-ji Pingi, la cheffe de tribu, ou Nevroyae, sa cheffe chez les maraudeurs), tant que ces dernières se montraient avec assez de poigne pour le faire tenir tranquille.

Il n'aimait pas perdre, et pour cela il pouvait tricher, comploter, faire le dos rond un moment pour venir planter une dague dans le dos ensuite, etc.

Bon vivant, mais toujours dans l'excès : il pouvait se droguer à mort (littéralement), boire comme un trou, sauter sur tout ce qui bouge (pour le taper ou le baiser, ce qui était assez proche dans sa tête). Il était heureusement trop fainéant et inconstant pour que cela soit suivi dans le temps ; la plupart de ses victimes lui échappaient parce qu'il s'en désintéressait à un moment.

Son absence de peur devant la douleur et la mort et même son appétence pour ce genre de chose en faisait un bon soldat, à condition d'arriver à gérer ses excès et de lui donner de quoi s'occuper.

C'était par ailleurs quelqu'un de relativement intelligent, même s'il ne prenait pas souvent la peine de l'être. Il aimait monter des plans compliqués pour embêter les gens, souffler le chaud et le froid, et faire perdre la tête aux zoraïs qui doutaient un peu.

Sa résurrection improbable l'avait aussi rendu assez croyant : il était persuadé d'être béni par la Pourpre et de ce fait, éternel. Il n'était pas prosélyte sur le sujet, en dehors de son application à gooifier ce qu'il pouvait. Sa relation ambiguë avec Laofa, puis Yumzi Gami, révélait ses doutes face à la connexion de l'homine avec la Grande Poupre.

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